Mardi 4 décembre, le prix Femina 2022 a dévoilé ses deuxièmes sélections de romans français et étranger ainsi que les essais.
La deuxième sélection du prix Femina 2022 roman français
- Vivre vite, de Brigitte Giraud (Flammarion)
- Le cœur ne cède pas, de Grégoire Bouillier (Flammarion)
- Tenir sa langue, de Polina Panassenko (L’Olivier)
- Taormine, de Yves Ravey (Editions de Minuit)
- GPS, de Lucie Rico (P.O.L)
- Le dernier des siens, de Sibylle Grimbert (Anne Carrière)
- Un chien à ma table, de Claudie Hunzinger (Grasset)
- L’inventeur, de Miguel Bonnefoy (Rivages)
- Quand l’arbre tombe, de Oriane Jeancourt-Galignani (Grasset)
- Petite sœur, de Marie Nimier (Gallimard)
La deuxième sélection du prix Femina 2022 roman étranger
- Mes fantômes et moi, de Gabriel Byrne, traduit par Diane Meur (Sabine Wespieser)
- La dépendance, de Rachel Cusk, traduit par Blandine Longre (Gallimard)
- La douceur de l’eau, de Nathan Harris, traduit par Isabelle Chapman (Philippe Rey)
- Les abeilles grises, d’Andreï Kourkov traduit par Paul Lequesne (Liana Levi)
- Stern 111, de Lutz Seiler traduit par Philippe Giraudon (Verdier)
- Nous, les Allemands, d’Alexander Starritt, traduit par Diane Meur (Belfond)
- En mémoire de la mémoire, de Maria Stepanova traduit par Anne Coldefy-Faucard (Stock)
- Real life, de Brandon Taylor, traduit par Héloïse Esquié (La Croisée)
- Le magicien, de Colm Toibin, traduit par Anna Gibson (Grasset)
- Vers le paradis, d’Hanya Yanagihara traduit par Marc Amfreville (Grasset)
La première sélection du prix Femina 2022 essai
- Troublante identité, de Paul Audi (Stock)
- La religion woke, de Jean-François Braunstein (Grasset)
- Homo numerus : la civilisation qui vient, de Daniel Cohen (Albin Michel)
- Déjeunons sur l’herbe, de Guillaume Durand (Bouquins)
- Z comme zombie, d’Iegor Gran (POL)
- Le procès de la chair, de David Haziza (Grasset)
- Le Train de Proust, de Bertrand Leclair (Pauvert)
- Le fétiche et la plume : la littérature, nouveau produit du capitalisme, de Hélène Ling et Inès Sol Salas (Rivages)
- Traduire Hitler, d’Olivier Mannoni (Héloïse d’Ormesson)
- Juliette Drouet : compagne du siècle, de Florence Naugrette (Flammarion)
- Le musée, une histoire mondiale, de Krzysztof Pomian (Gallimard)
- Tombeaux : autobiographie de ma famille, d’Annette Wieviorka (Seuil)
Pour rappel, En 2021, le Prix Femina avait salué Clara Dupont-Monod pour S’adapter (Stock), Ahmet Altan pour Madame Hayat (Actes sud, trad. Julien Lapeyre de Cabanes), et Anne Cohen-Solal pour Un étranger nommé Picasso (Fayard).